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World: Global Emergency Overview Snapshot 30 April – 6 May

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Source: Assessment Capacities Project
Country: Afghanistan, Angola, Bangladesh, Bolivia (Plurinational State of), Botswana, Burkina Faso, Burundi, Central African Republic, Chad, Congo, Democratic People's Republic of Korea, Democratic Republic of the Congo, Eritrea, Ethiopia, Gambia, Guatemala, Guinea, Haiti, Iraq, Jordan, Kenya, Lebanon, Lesotho, Madagascar, Malawi, Mali, Mauritania, Myanmar, Niger, Nigeria, occupied Palestinian territory, Pakistan, Philippines, Senegal, Solomon Islands, Somalia, Sudan, Swaziland, Syrian Arab Republic, Tajikistan, United Republic of Tanzania, World, Yemen, Zambia, Zimbabwe, South Sudan
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Syria: Fierce fighting between opposition groups has led to further displacement in Deir-ez-Zor while a truce between the Government and the opposition is expected to see the Old City of Homs handed over to the Government after its recent campaign to retake it.

Afghanistan: Massive landslides in Aab Bareek, Argo district, Badakhshan province, killed at least 350 people, with the death toll feared to rise to 2,500. Over 7,000 people are affected, of whom 5,000 are displaced. Further flash-flooding occurred in Takhar, Baghlan and Samangan provinces. Updated figures on the 22-26 April flash floods indicate that 159 people were killed and over 71,000 people affected across the northern region. Heavy rain and snow melt could cause further flooding in Herat, Ghor, Sar-e-Pul and Samangan provinces in the upcoming days.

South Sudan: Fighting between government and opposition forces, and clashes between rival tribal and ethnic groups, have reportedly continued to mar the country through early May. The South Sudanese army re-captured opposition-held cities in Unity and Upper Nile state. Heavy rains have continued to restrict the delivery of humanitarian supplies by air and road.

Updated: 06/05/2014, Next Update: 13/05/2014.

Global Emergency Overview Web Interface


Senegal: Malgré son potentiel, la Casamance fait face à des pénuries

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Source: IRIN
Country: Senegal

ZIGUINCHOR, 6 mai 2014 (IRIN) - Les faibles récoltes de 2013-2014 ont accentué l'insécurité alimentaire en Casamance, dans le sud du Sénégal, où une longue insurrection et le manque d'investissement ont restreint la production agricole.

La Casamance est la région agricole la plus riche du Sénégal. Pourtant, la faim y est plus importante que dans les dix régions du pays considérées à risque en matière de sécurité alimentaire. En Casamance, qui compte 1,8 million d'habitants, 37 pour cent des foyers sont confrontés à des pénuries alimentaires, contre 14 pour cent des 13 millions d'habitants de l'ensemble du Sénégal. Selon une évaluation récente de la sécurité alimentaire, dix pour cent des foyers sont aux prises avec une insécurité alimentaire grave.

Malgré sa faible intensité, la rébellion du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC), qui a débuté en 1982 a laissé des mines terrestres qui limitent l'accès aux exploitations agricoles. Les zones les plus touchées sont celles de Sindian, dans le nord de la région, et le Sud, près de la frontière avec la Guinée-Bissau. Les champs abandonnés ont été salinisés par l'eau de mer et, selon les fonctionnaires locaux, il est difficile d'estimer la superficie exacte des terres agricoles abandonnées à cause des mines terrestres et de l'insécurité.

La production agricole est également limitée par l'absence de mécanisation à grande échelle et l'inadéquation des intrants agricoles utilisés.

« La Casamance était autrefois le grenier du Sénégal, mais le conflit, le changement climatique et la dégradation économique ont conduit à cette situation difficile », a dit Mamadou Konté, directeur régional du développement rural de la Casamance. « Lorsqu'une population a des revenus réguliers, le développement peut vaincre les conflits. Nous espérons pouvoir rapidement développer l'agriculture et retrouver les niveaux de récolte antérieurs. »

Les trois districts de la Casamance (Kolda, Sédhiou et Ziguinchor) sont confrontés à des pénuries alimentaires, ont dit des associations humanitaires. Selon l'évaluation de la sécurité alimentaire, la production de céréales sénégalaise a chuté de 12 pour cent la saison dernière par rapport à la saison 2012-2013.

« Le produit de nos récoltes ne dure que quatre mois. Nous sommes confrontés à d'énormes problèmes pour tenir le reste de l'année », a dit Daouda Diédhou, secrétaire général d'une association d'agriculteurs de la région casamançaise de Kabiline 2.

« Les exploitations agricoles sont plus petites, car les sols se sont salinisés. Nous ne recevons pas assez d'engrais du gouvernement et notre outillage traditionnel dissuade les jeunes de se lancer dans l'agriculture », a-t-il expliqué.

Les taux de faim étaient déjà élevés en Casamance, malgré les récoltes relativement bonnes de la saison 2012-2013. Une évaluation alimentaire et nutritionnelle réalisée en juin 2013 par le gouvernement et des agences des Nations Unies a révélé que 67,6 pour cent des foyers étaient en situation d'insécurité alimentaire dans le district de Ziguinchor, 66,9 pour cent dans celui de Sédhiou et 50 pour cent dans celui de Kolda. Les pénuries alimentaires en Casamance sont en outre aggravées par la rébellion qui limite les transports, le commerce et les autres activités socio-économiques.

Le gouvernement a mis au point un plan conjoint avec le Programme alimentaire mondial et l'Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture visant à distribuer de la nourriture et des intrants agricoles aux personnes en proie à des pénuries alimentaires.

« La situation en Casamance confronte la communauté humanitaire à un réel dilemme. D'un côté, les besoins sont réels ici, notamment en ce qui concerne l'insécurité alimentaire. De l'autre, nous devons également reconnaître que cette région du Sénégal est bien dotée et ne devrait pas avoir besoin d'une intervention humanitaire », a dit Robert Piper, coordinateur humanitaire régional des Nations Unies pour le Sahel.

« Il n'est pas naturel pour nous de monter une opération humanitaire dans un lieu aussi riche et bien doté que la Casamance. Les solutions sont ailleurs », a-t-il dit en faisant référence aux efforts du gouvernement pour négocier une issue pacifique à la rébellion.

L'insurrection du MFDC reste de faible ampleur et les hommes armés s'adonnent principalement à des actes de banditisme ou autres violences de ce type. Mais l'insécurité inquiète néanmoins la population. L'année dernière, des opérations de déminage ont été interrompues dans la région lorsque les rebelles ont enlevé une douzaine de démineurs. Plus de la moitié des terrains minés de Casamance ont été nettoyés.

Des transports couteux

Outre l'insurrection, la Casamance est géographiquement isolée du reste du pays. L'itinéraire le plus direct pour se rendre dans la région en partant de Dakar passe par la Gambie, où la traversée en bac du fleuve du même nom n'est pas toujours facile.

Peu de vols se rendent à Ziguinchor, la capitale de la Casamance, et contourner le fleuve Gambie par la mer ou la route rallonge le temps de trajet d'une douzaine d'heures.

Acheminer des produits vers Dakar en passant par la Gambie a un coût, car cela implique de traverser deux frontières internationales. Selon des Casamançais, les camions sont souvent retardés à l'embarquement du bac, parfois pour plusieurs jours.

Pendant ce temps, le gouvernement a alloué un milliard de dollarsà un plan visant à atteindre l'autosuffisance alimentaire d'ici 2017. Ce plan met l'accent sur la production de riz, d'arachides et d'oignons, considérés comme les denrées les plus stratégiques pour la population et l'économie. L’Objectif est de produire 1,6 million de tonnes de riz, un million de tonnes d'arachides et 265 000 tonnes d'oignons au cours de trois prochaines années, principalement grâce à une réforme des institutions agricoles, à des aides financières au secteur et à des formations, qui sont déjà en cours.

ob/cb-ld/amz

Mali: Les familles déplacées quittent le sud du Mali et rentrent dans le nord du pays

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Source: International Organization for Migration
Country: Mali

Mali– D’après la Matrice de suivi des déplacements (DTM) de l’OIM, les déplacés internes continuent de quitter Bamako et d’autres villes pour retourner dans d’autres régions du Mali autrefois dangereuses, principalement en raison de l’amélioration de la sécurité.

Le nombre de déplacés internes dans le pays est aujourd’hui estimé à environ 137 000, soit une baisse de 30% par rapport aux 200 000 signalés en février. Le nombre total de personnes retournant vers les régions du nord est passé de 196 000 en février à près de 284 000 en avril.

Dans le sud, la région de Bamako continue d’accueillir le plus grand nombre de déplacés internes (40 733). Quelque 17 727 autres ont trouvé refuge à Koulikouro et 10 440 à Segou. Au nord, la plus grande proportion de déplacés se trouve à Tombouctou (29 279), à Gao (16 729) et à Kidal (11 245).

L’OIM a collaboré avec le Directorat malien du développement social (DNDS) et avec le Directorat général de la protection civile (DGPC) afin de déterminer le nombre de personnes étant retournées dans les régions de Gao et de Tombouctou et d’en évaluer l’impact probable.

Cette opération a également été menée pour la première fois dans les régions de Mopti et de Kidal. A Kidal, sur les six communes évaluées par Solidarités internationales, ONG partenaire de l’OIM, seules deux communes ont été identifiées comme des zones de retour.

La hausse du nombre de rapatriés enregistrée par les données de la DTM en avril a été essentiellement attribuée à l’amélioration de la sécurité mais également à la capacité de l’OIM à recueillir des données dans d’autres zones de retour.

Le rapport fournit également des informations sur les besoins des rapatriés à travers le pays. Environ 45% des familles interrogées avaient besoin de nourriture, 18% d’abris, 13% recherchaient un emploi et 7% ont confié avoir besoin d’un moyen de transport pout retourner dans leur lieu d’origine.

Le rapport comprend en outre les résultats d’une évaluation des besoins réalisée dans les villages accueillant une forte proportion de déplacés internes et de rapatriés, notamment dans 36 villages de Gao, 30 à Tombouctou et 41 à Mopti. Environ 71% des personnes interrogées ont mentionné la nourriture comme leur besoin le plus urgent. Quelque 14 autres pour cent ont mentionné l’eau et l’assainissement.

« La hausse rapide du nombre de déplacés internes retournant dans leur lieu d’origine doit être suivie afin d’éviter un nouveau déplacement. Après deux ans de déplacement, les déplacés internes retournent dans des zones où les conditions de vie sont pires que quand ils sont partis en termes de pénurie de nourriture, de destruction des habitations, d’accès à l’eau et aux infrastructures de base », a déclaré Bakary Doumbia, chef de mission de l’OIM au Mali.

Les activités de la DTM de l’OIM sont menées à bien en coordination étroite avec le gouvernement malien et avec le financement du Bureau américain d’aide en cas de catastrophe à l’étranger (OFDA) et du gouvernement japonais.

Pour consulter le rapport de la DTM du mois d’avril :

Français

Pour plus d’informations, veuillez contacter

l’OIM au Mali Stéphanie Daviot Tel. +223.90500009 Email: sdaviot@iom.int

ou

Juliana Quintero Tel. + 223.90500013 Email: juquintero@iom.int

Mali: Gao : Inauguration de l'Hôpital de la MINUSMA - Niveau II

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Source: UN Multidimensional Integrated Stabilization Mission in Mali
Country: Mali

"L’Hôpital de la MINUSMA – Niveau II" construit par le contingent chinois à Gao, a été officiellement inauguré hier mercredi par le Chef de Bureau de la MINUSMA, M. Francisco Osler. Une grandiose et solennelle cérémonie qui a été largement mise à profit pour louer plus de deux décennies de coopération fructueuse de la Chine dans les opérations de maintien de la paix des Nations Unies. Aussi bien par le Commandant du Secteur Est et Général de Brigade Mamadou Sambe que par le Médecin Lieutenant-Colonel et Médecin Chef de l’Hôpital de Niveau-II de Gao.

Attendue depuis plusieurs mois, la cérémonie d’inauguration de l’hôpital de Niveau II de Gao a couronné plusieurs mois de travail acharné de jour comme de nuit, bravant l’ardeur du soleil et les tempêtes de sable grâce à l’engagement sans relâche et à la détermination de la compagnie de génie civil chinoise.

Lors de son allocution M. Francisco Osler a souligné que cette cérémonie vient couronner un travail ardu des collègues chinois qui ont préparé cette structure, mais elle marque également une nouvelle phase dans les opérations de la MINUSMA dans la région. Cette œuvre médicale, qui répond aux normes des Nations Unies, offrira des services médicaux professionnels à Gao.

Etendu sur une superficie totale de 600 m² et fort d’un effectif de 70 personnes, l'hôpital de la MINUSMA – Niveau II a la capacité de recevoir 40 malades par jour et peut en interner 20. Il est doté d’équipements de technologie de pointe, ce qui fait que cet hôpital soit classé au niveau II des hôpitaux de niveau tertiaire de référence. Il dispose des différents services incluent des spécialités telles que la pathologie interne, la chirurgie, la gynécologie et l’odontologie. Il est aussi doté de plusieurs appareils pour des examens physiques, des consultations communes, d’extraction et obturation dentaires, d’examen hématologique et humoral, d’électrocardiogramme, d’ultrason d’abdomen, d’ultrason de cavité pelvienne et d’examen radiologique.

« C’est un fait marquant pour les opérations de la MINUSMA dans le nord car il va nous permettre de stabiliser nos patients. Un hôpital de Niveau II est une structure de stabilisation chirurgicale, c’est ce qui permet de sauver des vies sur des patients traumatisés de guerre et d’accidents de la route et aussi tous les patients atteints et malades vont pouvoir être stabilisés de façon adéquate avant éventuellement d’être évacués vers des structures beaucoup plus importantes des pays limitrophes.

L’hôpital regroupe beaucoup de spécialités avec une compétence extraordinaire de la part du plus grand pays du monde, la Chine qui vient renforcer les capacités de la MINUSMA avec ce formidable outil, » a déclaré le Chef médical de la Mission, Jean Gaël Ruyffelaere.

Le Lieutenant-colonel Xiao Gang du contingent chinois a dit que le personnel médical chinois aura l’occasion de mettre pleinement en valeur leurs technicités et capacités professionnelles au service des Casques bleus et des civils à Gao où ils auront la garantie de bénéficier de soins médicaux de qualité.

Selon Anton Antchev, chargé des prestations de service-MINUSMA, cette nouvelle structure répondra aux besoins immédiats et prioritaires en matière de santé du personnel de la Mission basé à Gao.
Docteur B. Lavaux de Serval a quant à elle exprimé sa satisfaction : « J’espère que nous ferons une bonne équipe avec les chinois pour mieux assister les malades, » a déclaré Mlle Lavaux.
Le Commandant de l’Unité de la force formée du Rwanda, Bertin Mutezintare, s’est dit satisfait de l’inauguration de l’hôpital niveau-II : " Notre unité gère un hôpital niveau-I. Il y aura une complémentarité entre nos deux structures"

Le Commandant du Secteur Est, Mamadou Sambe, a lui fait savoir que cet établissement représentait une première étape dans la mise en place d’un dispositif de soutien médical dans la région Est. Il a par ailleurs révélé qu’une structure de cette envergure serait construite très prochainement à Kidal.
En plus de l’hôpital de Niveau II de Mopti du contingent togolais dont le professionnalisme a été salué par tous et maintenant celui de Gao, la MINUSMA disposera à termes d’un troisième hôpital nigérian basé à Tombouctou. Réussir ensemble la paix tout en sauvegardant le maximum de vies, tel sera le leitmotiv de l’ensemble de ces structures sanitaires.

Le reportage photo complet sur Flickr: https://www.flickr.com/photos/minusma/sets/72157644262840741/

Central African Republic: West and Central Africa Region: Weekly Regional Humanitarian Snapshot, 28 April - 06 May 2014

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Cameroon, Central African Republic, Chad, Mali, Nigeria
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CAMEROON
1 KILLED IN BOKO HARAM CROSS-BORDER ATTACK
Boko Haram has reportedly attacked policemen in Kousseri, Cameroon (Extreme North) on 4 May in an attempt to free a detained member of the group. The insurgents—normally concentrating attacks in northeast Nigeria—have been active in Cameroon this year: in April, two Italian priests and a Canadian nun were kidnapped and in February a Cameroonian chief was kidnapped, both reportedly by the group.

57 PER CENT CAR REFUGEES ARE CHILDREN
UNHCR completed profiling of refugees this week, revealing that 57 per cent are children; 53 per cent are female; 96 per cent of refugees are Muslim; and 80 per cent of school-age children have never been to school. Since March 2013, 82,755 Central Africans have sought refuge in Cameroon, 76,619 of who arrived since January 2014.

ASSISTANCE TO TCNs/MIGRANTS FROM CAR TO RESUME
IOM operations in Cameroon on hold since mid-April due to a lack of funding, will resume this week thanks to a CERF funding allocation. The halt in activities prevented the transfer of TCNs from border entry points to transit sites, and the establishment of transit sites. Figures on TCNs/migrant have also not been updated for three weeks.

CENTRAL AFRICAN REPUBLIC (CAR)
1,300 RELOCATED MUSLIMS ARRIVE IN NORTHERN CAR, 2 KILLED IN ATTACKS 1,300
at-risk Muslims were relocated from the volatile PK-12 neighbourhood in Bangui to the north of the country from 27 April-1 May. The escorted convoy was attacked en route killing at least two and injuring seven.

MSF HALTS NON-EMERGENCY ACTIVITIES DUE TO VIOLENCE
Following the killing of three staff members during an attack in Nanga Boguila (northern CAR) last week, MSF is halting all non-emergency assistance in CAR. 15 KILLED IN ATTACKS IN THE NORTH;

UNHCR STAFF MEMBER KILLED IN BANGUI
On 2 May, 15 people were killed in an attack in Markounda (northern CAR). The attack occurred some 30km from the scene of last week’s attacks on the MSF clinic where 16 were killed, including MSF staff. On 1 May, a UNHCR staff member was kidnapped and killed in Bangui marking the second consecutive week that aid workers are killed in CAR.

CHAD
USG VALERIE AMOS VISITS CHAD USG
for Humanitarian Affairs, Valerie Amos, is in Chad from 5-6 May to take stock of the humanitarian situation and response, including food insecurity and malnutrition in the Sahel belt of Chad.

MALI
1,900 MALIAN REFUGEES RETURN TO MALI
As of 2 May, q total of 1,900 Malian refugees in Niger voluntarily returned to Gao, Mali. Their return was facilitated with transport and cash provided by UNHCR.

NIGERIA
19 KILLED IN ABUJA BOMBING
A bombing in the capital on 1 May killed at least 19 people. This attack comes two weeks after a deadly bombing in the same neighbourhood killed some 75 people.

Mali: Ménaka: les Casques bleus de la MINUSMA en appui

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Source: UN Multidimensional Integrated Stabilization Mission in Mali
Country: Mali

Le commandant en second des Casques bleus en visite à Ménaka a offert un générateur à la ville au nom de la MINUSMA. Dans le cadre des visites régulières que rend le commandement de la force aux troupes de la MINUSMA déployées sur le terrain, le commandant en second des Casques bleus, le général Abdou Kaza s’est rendu du 28 au 30 avril dans la région de Tombouctou pour une visite de travail et un inspection des forces. Ces visites permettent au commandement de se rendre compte des conditions de vie et d’opération des soldats de la paix dans les régions.

Dans le cadre des visites régulières que rend le commandement de la force aux troupes de la MINUSMA déployées sur le terrain, le commandant en second des Casques bleus, le général Abdou Kaza s’est rendu du 28 au 30 avril dans la région de Tombouctou pour une visite de travail et un inspection des forces. Ces visites permettent au commandement de se rendre compte des conditions de vie et d’opération des soldats de la paix dans les régions.

Le General Kaza en a profité pour rappeler aux contingents l’importance du rôle qu’ils jouent dans le processus de sécurisation et de stabilisation dans le nord du Mali. Il a salué leur professionnalisme dans un environnement difficile ou leurs vies peuvent être mises en danger.

Lors de ce déplacement sur le terrain – et comme à l’accoutumée lors des visites des autorités de la MINUSMA dans les régions – le général Kaza a rencontré les représentants locaux du Gouvernement. Ils ont ensemble abordé les excellentes relations que les autorités civiles et militaires locales ont avec les éléments militaires de la MINUSMA présents dans leurs juridictions. Ces relations se traduisent par la coopération et la coordination de certaines activités opérationnelles et humanitaires à travers des patrouilles de présence dans les agglomérations et sur les axes routiers dans le cadre de la sécurisation et la stabilisation, pour ne citer que celles-là.

Ces patrouilles, en plus de rassurer les populations, permettent à la Mission de se rendre compte des besoins concrets des habitants en régions.

C’est dans ce cadre que la MINUSMA a livré un générateur neuf, à la demande des autorités maliennes, en remplacement de celui en place hors service, pour la ville de Ménaka qui fait face à un problème grave de ravitaillement en eau potable. Le matériel et l’équipe (deux techniciens EDM) chargés de l’installation ont été acheminés sur place par la Mission.

Il est à noter qu’avant l’arrivée et l’installation de ce générateur et pour pallier au manque d’eau dans la ville, le Bataillon Nigérien basé dans l’agglomération a fourni de l’eau potable aux populations avec son unique camion-citerne.

Chad: United Nations Under-Secretary-General for Humanitarian Affairs and Emergency Relief Coordinator, Valerie Amos Remarks at press conference, N'djamena, Chad, 6 May 2014

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Central African Republic, Chad, Sudan

Good afternoon,

This is my first visit to Chad and I came for two specific purposes. First of all, to see the impact on Chad of the displaced from the Central African Republic, and also to look at the food insecurity and malnutrition crisis.

I had the opportunity to speak to the President, the Prime Minister, and members of his Government, to members of the United Nations based here, partner organizations and also a number of donor countries that are based here in Chad.

I also had the opportunity to make two field visits. So I had the opportunity to see for myself the situation of the displaced when I visited Gaoui [transit site] this morning, and also this afternoon I went on to Kanem to see the impact of the food insecurity and malnutrition situation.

This morning I was able to see the extremely good work that the United Nations and partners are doing to support the displaced from the Central African Republic but I also got to see some of the conditions, including for women and children who have arrived very recently and do not have shelter and, because they are not registered, are not even able to get access to food.

I hope that my visit will be an opportunity to raise the profile of the impact of the CAR crisis on Chad and be an opportunity for Chad to get recognition as a country that has welcomed refugees not only from Central African Republic but also from Sudan, and also enable us to raise the funding that we require to give people who have fled across the border as well as Chadians who host them the support that they require.

In Kanem [region] I was able to visit a nutrition centre and a therapeutic feeding centre and see the excellent work that is being done between the Government and partners in terms of dealing with the high level of malnutrition.

I think it is very important to remember that Chad, together with a number of other countries across the Sahel, is facing an extremely challenging situation. Year on year, environmental degradation and drought are resulting in higher numbers of people being food and nutrition insecure.

We know that that requires a different approach. We know that we need to deal with the immediate impact, and I saw some of that work today. But we also need to plan for the longer term, to help communities to help build the resilience that they need so that they can overcome the shocks that they face year on year.

The President's personal commitment to tackling the nutrition issue and the Government's national nutrition strategy fit well with the United Nations own humanitarian strategy for the Sahel, and we will continue to work together in the months and years to come to deal with this underlying structural challenge which exists in Chad.

I will continue to be a strong advocate for the people of Chad and do my best to help to raise the resources required to give the support that is needed to help the people of Chad deal with the underlying developmental challenges that the country faces and also with the impact of the refugees from Sudan and Central African Republic.

Merci beaucoup.

Chad: Chad Food Security Outlook Update April 2014 to September 2014

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Source: Famine Early Warning System Network
Country: Chad
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Key Messages

  • Poor households in the Wadi Fira and southern Bahr El-Ghazel (BEG) areas are facing food consumption deficits on account of the premature depletion of their food stocks, the unusually steep increases in food prices, and poor pastoral conditions. While projected humanitarian assistance should prevent a further deterioration in their food security situation, these households will remain in Crisis (IPC Phase 3) until the upcoming October harvests.

  • Livestock body conditions in the Sahelian zone are poorer than usual due to pasture deficits in that area. This is reducing milk availability and livestock prices and is eroding the purchasing power of pastoralists. Affected households in the Batha, northern BEG, Kanem, Guera, Sila, and Hadjer Lamis areas will have difficulty maintaining their food access and, thus, will be Stressed (IPC Phase 2) between April and September.

  • The presence of refugees and returnees in Logone Oriental, Moyen Chari, Mandoul, and Salamat is creating additional costs for their host families, is increasing the household dependency ratio, or number of dependents per household, and is putting pressure on household demand, consumption, and spending. As a result, these households will be Stressed (IPC Phase 2).


Niger: Mali, Niger and the UNHCR sign agreement on repatriation of Malian refugees

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Source: UN High Commissioner for Refugees
Country: Mali, Niger
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A delegation of the Malian government headed by his Excellency the Minister of Interior and Security, General Sada Samaké, is visiting Niamey for the signing of the tripartite agreement between the governments of Mali, Niger and UNHCR for the voluntary repatriation of Malian refugees.

The Agreement was signed on May 3, 2014 in Niamey by the three parties. One of the immediate results of the agreement will be the creation of a tripartite commission to define the practical modalities for the implementation of the voluntary repatriation program.

UNHCR welcomes the conclusion of this agreement which provides a legal framework to support spontaneous returns already underway since 2013 and which provides additional protection to returnees. The tripartite agreement requires that the parties undertake to respect the voluntary character of repatriation in safety and dignity; while guaranteeing the right of asylum and international protection for Malian refugees who have not yet opted for return.

Since November 2013, some 5,600 refugees have so far left the refugee camps in Niger and returned home with the assistance of UNHCR and its government partner, the National Eligibility Commission.

Parallel to these returns, thousands of new refugee arrivals have been continuously registered.
The situation in northern Mali is not yet favorable to the promotion of massive returns.
However, UNHCR welcomes the cooperation between the governments of Mali and Niger and will work together with them in seeking durable solutions to the problems of refugees.

UNHCR supports the process initiated in Mali for reconciliation and for the reintegration of returning refugees. UNHCR also seizes this occasion to pay tribute to the solidarity and the generosity demonstrated by the people and the Government of Niger to the Malian refugees. It reaffirms its commitment to continue to support the authorities of Niger in providing protection and assistance to Malian refugees present on its territory and to those who continue to arrive.

Since 2012, Niger is host to approximately 50,000 Malian refugees living in the three camps of Mangaize , Tabareybarey and Abala in the Tillaberi region, the two “ refugee hosting areas”, of Intikane and Tazalit in the Tahoua region and within the Niamey urban area.

END

Niger: Le Mali, le Niger et le HCR signent un accord sur le rapatriement des réfugiés maliens

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Source: UN High Commissioner for Refugees
Country: Mali, Niger
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Une délégation du gouvernement malien dirigée par son Excellence M. le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le Général Sada Samaké, est en visite à Niamey en vue de la signature de l’accord tripartite entre les gouvernements du Mali, du Niger, et le HCR pour le rapatriement volontaire des réfugiés maliens.

L’Accord a été signé à Niamey le 3 mai 2014 par les trois parties. Un de ses effets immédiats sera la création d’une commission tripartite pour définir les modalités pratiques de mise en œuvre du programme de rapatriement volontaire.

Le HCR se réjouit de la conclusion de cet accord qui offre un cadre juridique pour accompagner les retours spontanés déjà amorcés depuis 2013, et qui apporte une protection supplémentaire aux rapatriés. L'Accord Tripartite implique que les parties s’engagent à respecter le caractère volontaire du rapatriement dans la sécurité et la dignité ; tout en garantissant le droit d’asile et la protection internationale pour les réfugiés maliens qui n’auraient pas encore opté pour le retour.

Depuis novembre 2013, quelque 5.600 réfugiés ont quitté les camps de réfugiés du Niger pour regagner leur pays avec l’assistance du HCR et de son partenaire gouvernemental, la Commission Nationale d’Eligibilité.

En parallèle à ces mouvements de retour, plusieurs milliers de nouvelles arrivées de réfugiés ont été enregistrés. La situation au Nord Mali n’est pas encore favorable pour faire la promotion de retours massifs, néanmoins le HCR se félicite de la coopération entre les gouvernements du Mali et du Niger et s’engage à leurs côtés dans la recherche de solutions durables aux problèmes des réfugiés.

Le HCR soutient le processus engagé au Mali pour la réconciliation et l’aide à la réintégration des réfugiés rapatriés. Le HCR saisit également l’occasion pour rendre hommage à l’accueil et à la générosité dont le peuple et le Gouvernement du Niger font preuve envers les réfugiés maliens.
Il réaffirme son engagement à continuer d’appuyer les autorités nigériennes pour offrir protection et assistance aux réfugiés maliens présents sur son territoire ainsi qu’à ceux qui continuent d’arriver.

Depuis 2012, le Niger abrite environ 50.000 réfugiés maliens installés dans les trois camps de Mangaize, Tabareybarey, et Abala dans la région de Tillabéri, deux zones d’accueil à Intikane et Tazalit dans la région de Tahoua et en milieu urbain à Niamey.

Niger: In Niger, Gas to support refugees and to rescue trees

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Source: UN High Commissioner for Refugees
Country: Mali, Niger

Abala, Niger, April 2014 (UNHCR) - 300 FCFA (0, 63 USD). This is the amount spent daily by Alkaounatou, Malian refugee, single mother with three children, to buy firewood. For Alkaounatou, when you're living on less than a dollar a day, that's a lot.

3 hours. This is the time spent daily by Maimouna, another refugee and single mother with her four children, to find firewood in the neighborhood of the Abala refugee camp. Kilometers to get less and less quantity of wood...

A green environment. That’s the memory Akiyou, chairman of refugees, has on arriving in Abala.

Environment in agony, longer and longer distance to cover, firewood always more expensive, over the months these are the direct consequences of difficult access to domestic energy for refugees.

Their self-resilience is dashing away. It's once again time for survival strategies: reducing daily meals to sell part of the diet and buy firewood. The success of interventions against malnutrition is being reduced to ashes for a few pieces of firewood.

In Niger and Mali, few households use gas for domestic purposes. Behind this matter of fact are habits in food preparation but also a huge problem of physical and financial access. Gas is only available in cities and the initial cost of the consigned bottle and the stove is 23,000 FCFA (48 USD). This is obviously a large sum for the context, but often less than the monthly expense refugee households make to procure wood. It is an irrational situation with disastrous consequences to which UNHCR Niger has decided to remedy through the Gas Project.

A win-win partnership with the private sector was key to the success of the project. A contract was signed with a Niger company supplying gas to install at its own expense in the middle of sand a storage center for distribution and bottling. In return, UNHCR procured bottles, stoves and refills to meet the needs of more than 2,600 refugee households in Abala for 4 months.

It then only took a few weeks to reap the first benefits of the project.

1000 FCFA (2,11 USD). That is the amount Alkaounatou earns every day through her business. "Before the gas reached us, I was forced to sell part of our food ration to buy firewood. But with the Gas Project, I could save some money, buy merchandise and open my own business. Now I do not depend only on assistance to feed my children", Alkaounatou said.

3 hours. It is the time necessary for Maimouna to carry her business of selling pancakes every morning: “gas has much relieved me. At time I used to fetch wood, I was not able to undertake any other activity. Today, I get up, prepare my pasta and roast my pancakes with gas and I sell them. "

Words of wisdom. These are the words coming from Akiyou when asked about the benefits of the Gas Project "you should have asked your question to the trees. The gas came to the rescue of the trees. And when there is no tree, there is no life on earth."

Gas is now a pattern in everyday refugees’ lives. Some are willing to get their refills on their own, 1800 FCFA for an average of 20 days, the cost of wood for only 6 days. Gas also became available for the local population in Abala, which was unthinkable not so long ago, but a logic reward for people who welcomed refugee populations.

UNHCR’s Gas Project is the first of its kind to see the day in Niger, a new oil producer, which has just launched a major national campaign on gas promotion.

Supported in 2013 by the Embassy of France and ECHO, UNHCR Niger continues to mobilize its partners in order to extend the use of gas to other camps.

Guatemala: Guatemala ejecuta plan de acción para evitar crisis en el maíz

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Source: Government of Guatemala
Country: Guatemala

Written by Donis Figuero

Guatemala, 6 may (AGN).- El plan interinstitucional para enfrentar y disminuir los efectos de la toxina causada por la humedad en el maíz y que causa problemas de salud, fue presentado hoy durante la cuarta sesión ordinaria del Consejo Nacional para la Seguridad Alimentaria y Nutricional (Conasan) informó una fuente oficial.

La reunión, coordinada por la vicepresidenta de Guatemala, Roxana Baldetti, se celebró en el Salón Banderas del Palacio Nacional de la Cultura, en el centro histórico capitalino.

Datos revelados a la vicemandataria guatemalteca durante el encuentro dan cuenta que la toxina denominada "aflatoxina" causa efectos nocivos en la salud en al menos 2.500 niños al año, provocando problemas de crecimiento o malformación en la espina bífida, entre otros.

Asimismo, se detalló que desde el 2012 el gobierno central realiza diversas acciones para disminuir los daños que causa la toxina que había sido desatendida por las administraciones anteriores.

"Llevamos alrededor de medio millón de silos entregados en este gobierno, falta mucho más por hacer pero estamos buscando el apoyo de organismos internacionales y el haber reactivado Indeca (Instituto Nacional de Comercialización Agrícola) nos va a permitir que el maíz pueda secarse para evitar que esta toxina se prolifere", refirió.

Plan Interinstitucional

Elmer López, titular del Ministerio de Agricultura, Ganadería y Alimentación (MAGA), explicó que en el plan de acción para evitar la crisis en el maíz y sus efectos participan diversas instituciones del gobierno.

Señaló que el plan comprende asistencia técnica a las familias campesinas a través de los extensionistas para reducir el problema en el campo, el mejoramiento de la inocuidad y vigilancia del maíz, así como incrementar la capacidad y mejorar el almacenamiento del grano.

"También vamos a llevar a cabo una campaña de información dirigida a todos los actores que se involucran en la producción y distribución del maíz, lo que incluye seguir con la entrega de silos para el almacenaje del producto", manifestó el funcionario.

En tanto, Luis Monterroso, titular de la Secretaria de Seguridad Alimentaria y Nutricional (Sesan) detalló que durante el primer año de gobierno se realizó una investigación de campo para determinar los daños que provocaba la micotoxina en los infantes.

"Se identificó que la presencia de aflatoxinas era alta en el consumo de maíz y que era un factor que pudiera estar influyendo en el retardo del crecimiento de los niños y hay una probabilidad muy alta que provoca una baja absorción de ácido fólico lo que fomenta que las madres no puedan dar a luz a niños de una talla adecuada", dijo el funcionario.

Las aflatoxinas son micotoxinas producidas en pequeñas concentraciones por hongos del género Aspergillus, los más notables flavus, niger y parasiticus.

También pueden ser producidas por hongos del género Penicillium, como P. verrucosum. Las aflatoxinas son tóxicas y carcinogénicas para animales, incluyendo humanos y después de la entrada al cuerpo se metabolizan por el hígado con un reactivo intermedio.

Chile: Pan-American Disaster Response Unit Actualización de operaciones Reporte No. 03-2014

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Source: International Federation of Red Cross And Red Crescent Societies
Country: Bolivia (Plurinational State of), Chile, Dominican Republic, Guatemala, Haiti, Nicaragua, Paraguay, Venezuela (Bolivarian Republic of)
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OPERACIONES NUEVAS

Chile: terremoto

MDRCL009

Un llamamiento de emergencia de 1,446,937 francos suizos fue lanzado para apoyar los esfuerzos de la Cruz Roja Chilena luego del terremoto de magnitud 8.2 que ocurrió en el norte del país. La Cruz Roja Chilena está contribuyendo al mejoramiento de las necesidades de 20,000 personas afectadas en las regiones de Arica, Parinacota y Tarapacá.
Se está trabajando para brindar primeros auxilios psicológicos, agua, saneamiento y promoción de higiene, transferencia de efectivo para alojamiento, medios de vida, además de abogacía y reducción de riesgos.
Esta operación ha sido testigo del primer uso de la una Unidad Regional de Respuesta (URR), la nueva herramienta de respuesta. En un esfuerzo conjunto de la Cruz Roja Canadiense, Cruz Roja Colombiana y Cruz Roja Jamaicana se está brindando apoyo psicosocial tanto a miembros de la Cruz Roja Chilena como a las comunidades afectadas, incrementando al mismo tiempo la capacidad de la Sociedad Nacional para darle continuidad al apoyo psicosocial. A su vez se están distribuyendo agua potable, 5,000 jerrycans y kits de higiene, las cuales van acompañadas de campañas de promoción para la población, incluyendo a la población migrante.

Guatemala: Informe mensual sobre la reserva, precio y mercado del maíz y frijol con familias de las comunidades donde se ejecutan los proyectos apoyados por FAO-Guatemala - Al 3 de mayo 2014

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Source: Food and Agriculture Organization
Country: Guatemala
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Interpretación de los datos: A nivel nacional el precio del quintal de maíz no presentó variación con respecto al mes de marzo recién pasado. La estabilidad del precio se debe a la oferta abundante en los principales mercados del país, derivado de la buena cosecha obtenida por las familias a nivel nacional, cuyos excedentes aún son notorios, lo cual permite que la oferta en los mercados sea constante. Se espera que para los próximos meses la oferta continúe normal, abastecidos por la producción nacional de la cosecha pasada y por grano procedente de México, el cual año con año abastece los mercados de las Regiones Occidente, Sur y parte de la Región Central, esto mientras llega la nueva cosecha la cual inicia a partir de julio y agosto próximos.

El precio por quintal cotizado en abril de 2014 es Q3.00 más alto que en abril de los años 2007 y 2013, Q4.00 más bajo que en abril de 2008, Q10.00 más bajo que en abril de 2009, Q2.00 más alto que en abril de 2010, Q58.00 más bajo que en abril de 2011, Q13.00 más bajo que en abril de 2012 y Q3.00 más alto que en abril de 2013.

Chad: ECHO Factsheet Chad – May 2014

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Source: European Commission Humanitarian Aid department
Country: Central African Republic, Chad, Sudan

Factsheet on Chad (ECHO)

  • Chad continues to face a complex emergency as a result of chronic food insecurity, repeated food crises, malnutrition, natural hazards, epidemic outbreaks and displacement of populations.

  • The European Commission's humanitarian funding, amounting to €34.5 million in 2014, addresses urgent needs arising from the on-going food and nutrition crisis. It contributes significantly to the treatment of acutely malnourished children and the distribution of emergency food aid and cash grants to the poorest families.

  • Recent conflict in neighbouring countries such as the Central African Republic has triggered an influx of new arrivals, both refugees and Chadian nationals, which is putting an additional burden on already strained resources. The European Commission has allocated €5 million to cover their immediate needs.

http://ec.europa.eu/echo/files/aid/countries/factsheets/chad_en.pdf


Cameroon: ECHO Factsheet – Cameroon – May 2014

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Source: European Commission Humanitarian Aid department
Country: Cameroon, Central African Republic

Factsheet on Cameroon (ECHO)

Cameroon hosts over 70 000 refugees that fled the inter-communal violence in the neighbouring Central African Republic (CAR). Relief operations pose a challenge due to the multitude of entry points along the 700 km long border, the high rate of new arrivals and the limited basic services in this part of the country.

In addition, the country is facing food insecurity in parts of the north and far north regions due to erratic rain fall, locust invasions and poor infrastructure. An estimated 6 million people are at risk of epidemics in this area.

In 2014, the European Commission allocated €2 million from its humanitarian funds to improve the screening of malnourished children and mothers as well as their treatment. A further €4 million has been mobilized to assist refugees from CAR.

http://ec.europa.eu/echo/files/aid/countries/factsheets/cameroon_en.pdf

Chad: La Coordonnatrice des secours d'urgence, Valerie Amos, appelle à plus de soutien humanitaire pour le Tchad

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Central African Republic, Chad, Sudan

(N'Djamena, Genève, New York le 7 mai 2014) : La Cheffe des Affaires Humanitaires de l'ONU, Valerie Amos, a terminé sa mission de deux jours au Tchad mardi soir, appelant au soutien d’urgence des bailleurs de fonds pour répondre aux besoins humanitaires de 97 000 personnes qui ont fui les violences en République Centrafricaine (RCA) et des deux millions de Tchadiens qui souffrent de l'insécurité alimentaire persistante et de la malnutrition , en particulier dans la bande sahélienne de ce pays d'Afrique centrale.

Le plan de réponse humanitaire géré par l'ONU au Tchad demandant 527 millions de dollars américains est actuellement financé à seulement 5 pour cent.

" J'espère que ma visite sera l'occasion de rehausser le profil de l'impact de la crise de la RCA sur le Tchad et une opportunité pour le Tchad d’obtenir de la reconnaissance en tant que pays qui a accueilli des réfugiés non seulement de la République Centrafricaine, mais aussi du Soudan", a déclaré Valérie Amos. "Nous devons lever les fonds requis pour donner le soutien dont ils ont besoin aux gens qui ont fui à travers la frontière ainsi que les Tchadiens qui les accueillent ".

Depuis le début de l'année, le gouvernement du Tchad et la communauté humanitaire ont évacué plus de 70 000 personnes de la RCA et facilité le retour de plus de 28 950 migrants tchadiens dans leurs régions d’origine. Les partenaires humanitaires assistent également plus de 61 000 personnes sur des sites de transit. Cette aide vitale est principalement financée a travers les budgets des programmes réguliers en raison du manque de fonds d’urgence. La situation est plus critique pour ceux qui sont dans les sites de transit au moment ou commence la saison des pluies.

" J'ai pu voir le très bon travail que l'Organisation des Nations Unies et ses partenaires font pour soutenir les personnes déplacées de la République Centrafricaine , mais j'ai aussi eu l'occasion de voir quelques-unes des conditions, des femmes et des enfants qui sont arrivés très récemment et n’ont pas de logement ni de la nourriture", a dit Valerie Amos à la fin de sa première visite officielle au Tchad qui comprenait des visites à un site de transit près de la capitale N'Djamena et dans la région du Kanem dans la bande sahélienne du Tchad.

Au Tchad, deux millions de personnes souffrent d'insécurité alimentaire et de malnutrition, surtout dans la bande sahélienne du pays, dont 147 000 enfants. En 2013, quelque 45 000 enfants sont morts de la malnutrition.

"Nous savons que nous devons faire face à l'impact immédiat, mais nous devons aussi planifier le long terme, pour aider les communautés à renforcer la résilience dont ils ont besoin afin qu'elles puissent surmonter les chocs auxquels elles font face d’année en année», a fait remarquer Mme Amos après sa visite au Kanem, dans la bande sahélienne.

Au cours de sa mission de deux jours, Mme Amos a rencontré le Président de la République, Idriss Deby Itno, le Premier ministre, Kalzeubet Pahimi, et d'autres membres du gouvernement.

"L’engagement personnel du Président de s'attaquer à la question de la nutrition et la stratégie nationale de nutrition du gouvernement cadrent bien avec la propre stratégie humanitaire des Nations Unies pour le Sahel", a dit Mme Amos. "Nous continuerons à travailler ensemble dans les mois et années à venir pour faire face à ce défi structurel sous-jacent qui existe au Tchad. "

Pour plus d’informations, veuillez contacter:
Alice Sequi, Chef du bureau OCHA Tchad, Tel: +235 68 85 10 04, sequi@un.org,
Philippe Kropf, OCHA Tchad, Tel: +235 68 85 10 03, kropf@un.org
Jens Laerke, OCHA Genève, +41 22 917 1142, +41 79 472 9750 , laerke@un.org,
Les communiqués de presse d’OCHA sont disponibles sur www.unocha.org ou www.reliefweb.int

Chad: Emergency Relief Coordinator, Valerie Amos, calls for more humanitarian support for Chad

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Central African Republic, Chad, Sudan

(N’Djamena/Geneva/New York, 7 May 2014): United Nations humanitarian chief Valerie Amos completed her two-day mission to Chad late Tuesday, calling for urgent donor support to meet the humanitarian needs of 97,000 people who have fled the violence in the Central African Republic (CAR) and for the two million Chadians suffering from persistent food insecurity and malnutrition.

The humanitarian response plan managed by the UN in Chad asking for US$527 million is currently only 5 per cent funded.

“I hope that my visit will be an opportunity to raise the profile of the impact of the CAR crisis on Chad and be an opportunity for Chad to get recognition as a country that has welcomed refugees, not only from Central African Republic, but also from Sudan,” said Valerie Amos. “We must raise the required funding to give people who have fled across the border, as well as the Chadians who host them, the support that they require.”

Since the beginning of the year, the Government of Chad and the humanitarian community have evacuated over 70,000 people from CAR and facilitated the return of over 28,950 Chadian migrants to their areas of origin. Humanitarian partners are also assisting more than 61,000 people in transit sites. This life-saving assistance is financed mainly with regular programme budgets due to a lack of emergency funding. The situation is made more critical for those in transit sites as the rainy season begins.

“I was able to see the extremely good work that the United Nations and partners are doing to support the displaced from the Central African Republic, but I also got to see some of the conditions, including for women and children who have arrived very recently and do not have shelter and food,” said USG Amos at the end of her first official visit to Chad, which included visits to a transit site near the capital N'Djamena and to the Kanem region in Chad's Sahel belt.

In Chad, there are around two million people suffering from food insecurity and malnutrition, mostly in the country's Sahel region. Children are badly affected: last year, 45,000 children died due to malnutrition.

"We know that we need to deal with the immediate impact, but we also need to plan for the longer term, to help communities build the resilience they need to overcome the shocks that they face year after year," Ms. Amos noted following her visit to Kanem.

During her visit USG Amos met with the President of the Republic, Idriss Deby Itno, the Prime Minister, Kalzeubet Pahimi, and other Government officials. “The President's personal commitment to tackling the nutrition issue and the Government's national nutrition strategy fit well with the United Nations own humanitarian strategy for the Sahel,” emphasized Ms. Amos. “We will continue to work together in the months and years to come to deal with the underlying structural challenges in Chad.”

Valerie Amos Remarks at press conference, N'djamena, Chad, 6 May 2014

Burkina Faso: Analysis of household expenditures and the impact of remittances using a latent class model: the case of Burkina Faso.

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Source: African Development Bank
Country: Burkina Faso
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Abstract

This paper applies a latent classes model to assess the impact of international remittances on households' expenditures using 2010 cross-sectional data from Burkina Faso. Household expenditures are modeled using the Almost Ideal Demand System (AIDS). With the latent class model, these expenditure equations are estimated simultaneously for both groups of households as well as factors that explain the probability of being in one group or another.

The latent class model is used to estimate eight dierent expenditure equations: food, education, healthcare, durable goods, housing, fuel for cooking, communication (phone), and transportation. Results suggest that the household size, schooling, the age of the head of the household, farmer heads, female heads, access to electricity, living in urban areas, and international remittances contribute to explain household expenditure behavior.

Factors that contribute to increase the household chance to live below the poverty line include: household size, if the household head is a farmer, a female, or is aged, or living in a province other than Kadiogo.

Factors that increase the household chance of living above the poverty line are: the amount of remittances received, if the head of the household is educated, is Muslim, if the household has access to electricity or public water pump, or if the household lives in the province of Kadiogo.
Results also suggested that all the consumption items are necessary goods for households living below the poverty line, and only two items (durable goods and housing) are luxury goods for those living above that line

Malawi: Malawi Monthly SitRep # 4, April 2014

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Malawi
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Highlights

  • A joint pre-harvest food security assessment conducted in March 2014 indicated that 10 of the 28 districts may face food shortages in 2014/15 as a result of prolonged dry spells and army worm attacks. Access to food will be further affected by low production of cotton which is a main cash crop in some of the affected districts. The number of people that will be food insecure in the new consumption year (April 2014 to March 2015) will be clearly known after the annual Malawi Vulnerability Assessment to be conducted in the month of June 2014.

  • Districts that were food insecure in 2013/14 have continued to experience logistical challenges in terms of transporting supplies for treatment of severe acute malnutrition from the central level to the facility level. UNICEF has been supporting delivery of RUTF from the central warehouse to the District Health Offices and has distributed 5,424 cartons of RUTF to cover the needs for the period of April to June 2014 in 16 districts and 3 central hospitals.

  • A total of 3,083 children have received treatment in the month of March in the 484 Outpatient Therapeutic (OTP) sites and 86 Nutrition Rehabilitation Units across the country.

  • With support from UNICEF, orientation of 69 Community Based Organisations and 69 District Social Welfare Officers on provision of psychosocial support has been completed in 23 of the 24 districts that were food insecure. The Community Based Organisations have carried out 207 Community Dialogue Sessions in which those affected by food insecurity are identified and referred to appropriate services.

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