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Chad: Tchad - Mise à jour sur la sécurité alimentaire, Mars 2013

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Source: Famine Early Warning System Network
Country: Chad
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MESSAGES CLÉS

• La plupart des ménages au Tchad est capable de satisfaire ses besoins alimentaires et non alimentaires à travers des stratégies de moyens d'existence normales(ex. les stocks alimentaires issus de leur propre production, la main d'œuvre, la vente des animaux et des produits des animaux). Donc, toutes les zones de moyens d’existence sont actuellement en Phase 1 (Aucune/Minimale) de l’IPC 2.0.

• Les bonnes récoltes pluviales sont renforcées par les nouvelles récoltes de cultures de contre saison (berbéré et/ou maraîchage) améliorant ainsi le niveau actuel de stock des ménages. En outre, le coût journalier de la main d’œuvre reste élevé par rapport à l’année dernière permettant ainsi aux ménages pauvres d'accéder normalement aux denrées alimentaires sur le marché.

• Les prix des céréales sont relativement stables avec de légères baisses comparées à février 2013 et mars 2012, mais restent élevés dans la zone soudanienne par rapport à la moyenne quinquennale. A titre indicatif, on observe une hausse de 37 pourcent et 8 pourcent sur le prix du sorgho respectivement à Sarh et à Moundou.


Mali: Mali’s coup leader: ‘Coup isn’t a nice word’

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Source: Washington Post
Country: Mali

Just over one year after Captain Amadou Sanogo staged a military coup to take leadership of the vast West African nation of Mali, he has granted an interview to Der Spiegel magazine. Sanogo’s year in office has not gone very well: rebels in the country’s north, some of them Islamists and some of them ethnic Tuareg who had long sought their own country, took advantage of the chaos to seize entire regions of the country. French troops were able to expel the rebels, but Sanogo is under strong international pressure to allow democracy to return to Mali. In other words, he’s not on anybody’s short-list for leader of the year.

Read the full article on the Washington Post.

Mali: World Bank Finances New Agriculture Support for Mali

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Source: World Bank
Country: Mali

WASHINGTON, March 28, 2013 – The World Bank Board of Executive Directors today approved a US$ 20 million zero-interest IDA* credit to Mali to help the country develop and improve its agriculture and food production by fostering closer links with agribusinesses and commercial financing.

The additional financing will go towards building on the achievements of the ongoing Agricultural Competitiveness and Diversification Project. “The project will help improve the performance of agriculture and livestock businesses in which Mali has a comparative advantage in domestic, sub-regional and international markets”, said Ousmane Diagana, the World Bank’s Country Director for Mali. “The World Bank will help to accelerate commercial agriculture in rural areas of Mali.”

The research and development approach which occurred in the first phase of the project, demonstrating innovative technologies for irrigation and processing of agricultural products and livestock, helped to develop technical and economic standards ("farm budgets"), which served as the basis for the establishment of relevant and profitable small and medium enterprises. Abiding by the standards of the Global Partnership for Good Agricultural Practices, which certifies good agricultural practices, has "unlocked" the international market for Malian mangos.

"The project will continue to increase the value of food and other agricultural products and promote profitable small and medium-sized farms,” says Yeyandé Kassé Sangho, Senior Specialist in Agribusiness and the Bank's Task Team Leader. "This new financing should increase rural incomes and employment.”

More than 270 companies are currently in business, with another 200 planned to open during the additional phase, many of which will benefit women. The majority of Mali’s farmers are women, and more than 70 percent of Africa’s farming workforce is made up of women.

The World Bank is one of Mali's leading partners with a total commitment of $732.75 million in development financing. This comprises a current portfolio of 13 national and seven regional projects in the areas of rural development, basic services, energy, transport, institutional reform and decentralization.

*The World Bank’s International Development Association (IDA), established in 1960, helps the world’s poorest countries by providing loans (called “credits”) and grants for projects and programs that boost economic growth, reduce poverty, and improve poor people’s lives. IDA is one of the largest sources of assistance for the world’s 81 poorest countries, 39 of which are in Africa. Resources from IDA bring positive change for 2.5 billion people living on less than $2 a day. Since 1960, IDA has supported development work in 108 countries. Annual commitments have increased steadily and averaged about $15 billion over the last three years, with about 50 percent of commitments going to Africa.

Media Contacts

In Bamako
Moussa Diarra
tel : + 223 20 22 22 83
mdiarra@worldbank.org

In Washington
Aby Toure
tel : +1 202 473 8302
akonate@worldbank.org

Mali: Mali: CAP 2013 - Suivi des Financements au 28 Mars 2013

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Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Country: Mali
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Nigeria: Nigeria Food Security Update March 2013

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Source: Famine Early Warning System Network
Country: Nigeria
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KEY MESSAGES

• Households who suffered flood-related crop losses last year (July to October) are currently experiencing below-average food stock levels and will become market dependent approximately two to three months earlier than normal in March/April. This has further been compounded by below average levels of dry season activities, which has reduced incomes from both crop sales and labor activities. In flood affected areas, Stressed (IPC Phase 2) food insecurity will be observed from now through June 2013.

• Conflict relating to Boko Haram has intensified in the north, particularly in Borno and Yobe states, and has disrupted agricultural, market, and trade activities. Householdsin Borno and Yobe states are currently Stressed (IPC Phase 2) and are expected decline into Crisis (IPC Phase 3) between April and June 2013.

Mali: Mali: les Français remettent aux Maliens des armes récupérées dans le Nord-Est

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Source: Agence France-Presse
Country: Mali

03/30/2013 12:56 GMT

GAO (Mali), 30 mars 2013 (AFP) - L'armée française a remis samedi à l'armée malienne à Gao d'importantes quantités d'armes récupérées dans l'Adrar des Ifoghas, dans le nord-est du Mali, où Français et Tchadiens traquent depuis plusieurs semaines les jihadistes, a constaté une correspondante de l'AFP.

Une première partie de ces armes, environ trois tonnes, a été remise à l'armée malienne dans la base militaire française de Gao, ville à près de 1.200 km au nord-est de Bamako.

De source militaire française, ce sont au total sept tonnes d'armement qui seront restituées dans la journée de samedi à l'armée malienne. L'arsenal a été saisi dans l'Adrar des Ifoghas, zone montagneuse où sont retranchés des combattants islamistes armés que soldats français et tchadiens traquent depuis plusieurs semaines. Les armes ont été triées par des experts français avant leur remise.

"Seuls 15 à 20% de ce qui a été retrouvé est restitué et ré-employable sans risque. Le reste est détruit sur place pour éviter tout risque d'accident envers les populations civiles", a précisé le lieutenant-colonel Jean-Frédéric, responsable des opérations du génie.

Les armes récupérées, comprenant des munitions, obus de mortier, grenades à main, roquettes antichar, avaient été pillées pour la plupart par les groupes armés lors de la prise des bases militaires du nord du Mali. L'autre partie provient de la contrebande.

Divers groupes armés, comprenant des rebelles touareg et des islamistes ensuite devenus seuls maîtres sur le terrain, ont mené entre janvier et début avril 2012 une offensive contre l'armée malienne dans le vaste Nord malien qu'ils ont fini par occuper plusieurs mois, en y commettant de nombreuses exactions.

En janvier dernier, l'armée française a déclenché une opération avec l'appui de l'armée malienne et de troupes africaines pour empêcher une avancée vers le sud du Mali des groupes jihadistes et pour les en chasser du Nord.

str-cs/hba

Chad: Le HCR cherche 10 millions de dollars face à l'afflux de réfugiés

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Source: UN Radio
Country: Central African Republic, Chad, South Sudan (Republic of)

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Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a lancé ce mercredi un appel de fonds pour une aide d'urgence de 10 millions de dollars afin de faire face à l'afflux récent de réfugiés centrafricains et soudanais au Tchad. Ces fonds serviront aux opérations d’urgence pour les six prochains mois à l'Est et au Sud du Tchad.

Selon le HCR, les récents troubles intercommunautaires survenus au début de l'année 2013 au Darfour, au Soudan et la dernière flambée de violences en République centrafricaine ont occasionné des déplacements massifs de populations, générant ainsi des nouveaux réfugiés aussi bien à l'Est qu'au Sud du Tchad.

Cet appel aux donateurs est une façon pour les organisations de secours d’urgence et le HCR d’anticiper et éviter que cette situation ne prenne des « allures d'une urgence humanitaire ». Au Tchad, les réfugiés sont composés des familles avec beaucoup d'enfants. « Ce qui nécessite une attention particulière », selon le HCR.

A ce jour, le nombre total de personnes arrivées au Tchad est estimé à quelque 21.000 personnes à Tissi (sud-est, à la frontière Tchad-Centrafrique-Soudan), et 5.620 réfugiés centrafricains dans la Nya-Pendé (sud, à la frontière avec la Centrafrique)", qui viennent s'ajouter aux quelques 65.000 réfugiés centrafricains vivant dans les camps dans le sud du pays.

En Centrafrique, la coalition rebelle Séléka a pris le pouvoir et renversé le président François Bozizé dimanche. Les rebelles avaient lancé une première offensive armée en décembre, s'emparant de la majeure partie du pays et faisant fuir des milliers de Centrafricains en RDC et au Tchad. Des vagues successives de réfugiés centrafricains avaient également fui les conflits qui ont miné leur pays depuis 2003, sous la présidence de Bozizé.

La guerre civile au Darfour a fait au moins 300.000 morts en dix ans, selon l'ONU et plus d'un million de déplacés. Bien que les violences aient beaucoup baissé d'intensité, les combats entre les rebelles et l'armée de Khartoum ou les violences tribales restent quotidiens. (Extrait sonore : Fatoumata Lejeune-Kaba, porte-parole du HCR ; propos recueillis par Alpha Diallo)

Niger: UNICEF Niger Monthly Situation Report for 26 March 2013

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Source: UN Children's Fund
Country: Mali, Niger

Highlights

  • As of 10 March, an estimated 3,586 individuals have arrived in Niger since the start of the military intervention in Mali. Given that the Level 2 Registration for the refugees in Agando and Chinwaren (in Tillia region) has yet to take place, and that no departures were reported, the planning figure in Niger remains 50,000 individuals.

  • From 7 to 13 February, a total of 1,741 refugees (425 households) were relocated from Banibangou to Mangaizé camp. Relocated children will be integrated into the existing schools in the camp.

  • On 9 February, there was a measles outbreak in Mangaizé with 33 cases reported. 32 of them were among refugees including 24 children under 15 years or less. An immunization campaign targeting unvaccinated children from 6 months to 14 years has been launched by the Ministry of Health in collaboration with partners responsible for health activities in the camp.

  • From 25 March until 2 April, a joint survey is being undertaken by UNHCR, WFP and UNICEF in the camps to evaluate the current acute malnutrition rate among children 6 to 59 months. Immunization coverage against measles among children 9-59 months will also be determined in the 3 official refugee camps. This survey will be conducted using the SMART methodology.

  • As of 10 March, 54,818 children under-five have been admitted to therapeutic feeding centres for severe acute malnutrition (SAM), while another 79,329 have been receiving treatment for moderate acute malnutrition (MAM).

  • WFP, UNICEF and UNHCR agreed to extend the wet feeding programme in the camps for an additional two-month period (up until May 2013). This operation targeted 5,963 refugees through the month of February. Results of a MUAC survey among children aged 6-59 months are encouraging and show a positive impact on children’s nutritional status.

  • The lack of emergency funding could jeopardize the 2013-2014 school year for all refugee children in Niger. An estimated US$2.5 million are urgently required to ensure uninterrupted emergency education.

  • Despite the fact that protection issues are on the rise in camps, funding is not forthcoming. Gender-Based Violence, Children Associated with Armed Forces and other armed Groups, Separated and Unaccompanied Children, psychosocial distress affecting children remain threats to their well-being that need to be addressed through prevention, tracing and/or treatment.

  • To ensure that host communities have equitable access to WASH facilities and are not deprived of their rights, UNICEF is advocating to immediately mobilize US$2.5 million for this sector.


Mali: Suicide blast in Timbuktu after mine kills two Mali troops

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Source: Agence France-Presse
Country: Mali

03/31/2013 03:29 GMT

BAMAKO, March 31, 2013 (AFP) - A suicide bomber blew himself up Saturday in the northern Malian city of Timbuktu, raising fears of a new wave of violence by Islamist insurgents after a separate land mine blast killed two soldiers.

An army officer said a Malian soldier had been wounded in the suicide attack at an army barricade in Timbuktu, the fabled Sahara caravan city's second in nine days.

"A jihadist suicide bomber detonated his explosive belt after trying unsuccessfully to force his way through the barricade at the west entrance to Timbuktu, which was guarded by Malian soldiers," the officer told AFP by phone.

"A Malian soldier was wounded" and the bomber died instantly, he added, saying he could not give further details.

"It was a jihadist, that's all I can tell you for now. He failed," he said.

Several Timbuktu residents reported hearing a loud explosion Saturday night followed by sustained gunfire.

"Everyone hid inside the house," one resident told AFP. "No civilians were outside. We were afraid."

Earlier Saturday, a land mine explosion killed two Malian soldiers in the country's Gao region, to the east of Timbuktu, the defence ministry said.

"A Malian armed forces detachment's vehicle was blown up by a mine 110 kilometres (70 miles) from Ansongo. The toll is two dead and the vehicle destroyed," a ministry spokesman said in a statement.

He said no other soldiers had been wounded in the blast, which occurred as the detachment travelled with a unit of troops from Niger toward Ansongo.

A Malian officer speaking on condition of anonymity said the mine had been "placed by the Islamists".

No group has yet claimed responsibility for the attacks.

Mali has been the target of a series of attacks claimed by Islamist insurgents since France launched a military intervention against Al-Qaeda-linked groups that had seized the north of the country.

The French-led operation, launched on January 11, has forced the extremists from the cities they had seized for 10 months in the chaotic aftermath of a March 2012 military coup.

But French and African forces have faced continuing suicide blasts and guerrilla attacks in reclaimed territory.

On March 21, a suicide bomber blew up a car near the Timbuktu airport, launching an overnight assault on the city.

The blast killed one Malian soldier. Around 10 Islamist fighters were killed in the ensuing fighting with French and Malian forces, a French army spokesman said.

The attack was claimed by the Movement for Oneness and Jihad in West Africa (MUJAO), one of three Islamist groups that had seized the north.

MUJAO said it had "opened a new front in Timbuktu", which had not come under attack since French-led forces entered the city on January 28 -- unlike Gao, the largest city in the north, which has been hit by a string of suicide bombings and guerrilla attacks claimed by MUJAO.

The stretch of road where Saturday's land mine blast occurred is located southeast of Gao.

After the blast, the defence ministry called on residents "to redouble their vigilance and inform the nearest units of any infiltration by suspicious elements as soon as possible".

sd-cs/jhb/lm

© 1994-2013 Agence France-Presse

Mali: La Banque mondiale finance un nouveau soutien à l’agriculture pour le Mali

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Source: World Bank
Country: Mali

WASHINGTON, le 28 mars 2013 – le conseil d’administration de la Banque mondiale a approuvé aujourd’hui un prêt IDA* sans intérêt de 20 millions de dollars en faveur du Mali pour aider le pays à développer et à améliorer son agriculture et sa production alimentaire en favorisant des liens plus étroits avec l’industrie agro-alimentaire et le crédit commercial.

Ce financement additionnel est destiné à poursuivre sur les acquis du Programme de compétitivité et de diversification agricoles en cours. « Le projet permettra d’améliorer les performances des activités agricoles et d’élevage dans lesquelles le Mali jouit d’un avantage comparatif sur les marchés national, subrégional et international », a déclaré Ousmane Diagana, le directeur pays de la Banque mondiale pour le Mali. « La Banque mondiale va aider à accélérer le développement de l’agriculture commerciale dans les zones rurales du Mali. »

La démarche de recherche et développement mise en œuvre pendant la première phase du projet, qui consistait à démontrer des technologies innovantes d’irrigation et de transformation des produits de l’agriculture et de l’élevage, a permis de développer des normes techniques et commerciales (« farm budgets ») qui ont servi de base à la mise en place de petites et moyennes entreprises performantes et rentables. L’adhésion au cahier des charges du Global Partnership for Good Agricultural Practices, qui certifie les bonnes pratiques agricoles, a ouvert le marché international aux mangues du Mali.

« Le projet continuera d’accroître la valeur des produits agricoles - alimentaires et autres - et encouragera les petites et moyennes entreprises agricoles rentables, » selon Yeyandé Kassé Sangho, Spécialiste senior agro-alimentaire et chef de l’équipe de projet de la Banque. « Ce nouveau prêt devrait permettre d’accroître l’emploi et les revenus dans les zones rurales. »

Plus de 270 compagnies sont actuellement en activité et 200 autres devraient entrer sur le marché pendant la phase additionnelle du projet, dont beaucoup vont bénéficier aux femmes. Les femmes représentent la majorité des fermiers du Mali, et plus de 70 percent de la main d’œuvre agricole de l’Afrique.

Avec des engagements totalisant 732,75 millions de dollars au titre du financement du développement, la Banque mondiale est l’un des principaux partenaires du Mali. Ce montant représente un portefeuille de treize projets nationaux et de sept projets régionaux actuellement en cours dans les domaines du développement rural, des services de base, de l’énergie, des transports, de la réforme institutionnelle et de la décentralisation.

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À Bamako

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Burkina Faso: Pour la croissance et la compétitivité, la Banque mondiale accorde une subvention de 70 millions de dollars US au Burkina Faso

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Source: World Bank
Country: Burkina Faso, Mali

WASHINGTON, le 21 mars 2013 — La Banque mondiale à travers l’Association internationale de développement (IDA*), a approuvé ce jour, une subvention de 70 millions de dollars au profit du Burkina Faso. Cette subvention vise à promouvoir la croissance et la compétitivité, et à réduire les vulnérabilités liées à la crise malienne et à la crise financière internationale, a annoncé l’institution multilatérale.

La deuxième subvention pour la croissance, la compétitivité et la réduction de la vulnérabilité catalysera la croissance du secteur privé tout en assurant l’emploi, renforcera la résilience, réduira la vulnérabilité et améliorera la gouvernance et la gestion des ressources publiques du pays.

Cette nouvelle subvention qui soutiendra les efforts du gouvernement du Burkina Faso vise à :

  • Soutenir la croissance du secteur privé créateur d'emplois en aidant le gouvernement à mettre en place un fonds d’intrants pour la production du coton, et l'amélioration de la compétitivité de ce secteur. Ce fonds contribuera également à l’amélioration des autres spéculations commerciales ;

  • Améliorer la gouvernance et la gestion des ressources publiques en fournissant un cadre pour une meilleure transparence dans le secteur minier ;

  • Renforcer la résilience et réduire la vulnérabilité au moyen de transferts de fonds améliorés vers les communautés décentralisées, d’un meilleur accès à la micro finance pour les femmes, d'un meilleur suivi de la sécurité alimentaire, d’une plus grande distribution à prix réduits, voire gratuits de denrées alimentaires dans les zones pauvres et vulnérables et au profit des réfugiés maliens.

La Banque mondiale souligne que les secteurs du coton, des céréales et des mines ont été des moteurs importants de la croissance économique de ce pays au cours des cinq dernières années. De solides réformes dans les années 2000 ont facilité une forte augmentation des investissements directs étrangers (IDE) dans le secteur minier. En outre, depuis le 27 février 2013, le Burkina Faso a été déclaré « Pays Conforme à l’ITIE » par le Conseil d’Administration de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE) à Oslo. Cela signifie que le pays dispose d’une démarche de divulgation périodique des revenus issus du secteur minier et que ces données sont disponibles et accessibles au public, qui peut apprécier l’apport du secteur minier dans le développement du pays.

Une aide budgétaire extérieure est nécessaire en 2013 pour soutenir le programme de croissance économique tel que défini dans la SCADD, aider le pays à amoindrir les effets de la crise financière internationale et surtout gérer l'insécurité alimentaire des réfugiés maliens.

« Notre objectif est d’accompagner le gouvernement du Burkina Faso dans sa quête d’une croissance durable et soutenue. Ce fonds permettra de soutenir le secteur privé, véritable levier de la croissance, tout en aidant à améliorer la compétitivité du secteur du coton, notamment par la mise en place d’un fonds d’intrants pour la production», a affirmé Mercy M. Tembon, Représentante Résidente de la Banque mondiale à Ouagadougou.

La Banque mondiale a félicité le Burkina Faso pour sa solide gestion macro-économique consécutive á une bonne pluviométrie, combinée à une embellie des cours des produits d’exportation et qui ont permis un retour à une croissance économique soutenue de près de 8% en 2012.

La subvention accordée aujourd’hui est la deuxième d’une série de programmes de quatre ans de soutien budgétaire pour la croissance et la compétitivité au Burkina Faso pour la période 2012 à 2014.

Les programmes futurs devraient être alignés sur le cycle budgétaire du gouvernement. La série d’opérations proposée soutient la mise en œuvre par le gouvernement de la Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (SCADD) du Burkina Faso. Les deux premiers financements de l’IDA représentent plus de 30 % de l’aide budgétaire générale fournie au Burkina Faso par les partenaires du développement en 2012 et en 2013.

Le Burkina Faso a enregistré un taux de croissance économique réel de plus de 5 % en moyenne par année entre 1995 et 2012 et le RNB par habitant a augmenté de 360 dollars en 2005 à 447 dollars en 2012. La stabilité macro-économique et fiscale du pays a contribué à des améliorations continues de nombreux indicateurs économiques et sociaux. L’année 2012 a été caractérisée par une reprise de la croissance économique après un ralentissement constaté en 2011 ou la croissance a été de 4,2 % sous l’effet de la mauvaise pluviométrie et de la crise financière internationale. Un regain d’optimisme sur le moyen terme existe avec un taux de croissance économique de 7,5% en 2013 grâce à la bonne reprise des exportations du coton et de l’or qui bénéficient actuellement de cours favorables. En dépit des efforts faits par le Gouvernement en soutien aux secteurs sociaux, des défis existent sur le plan du développement humain au Burkina.

Cette subvention à l’appui de la politique de développement est la deuxième d’une série de quatre opérations et sera décaissée en une seule tranche.

  • Ce projet est financé par l’Association internationale de développement (IDA), une institution de la Banque mondiale fondée en 1960 et chargée d’aider les pays les plus pauvres du monde en leur accordant des subventions et des crédits ne portant pas intérêt pour la mise en œuvre de programmes de nature à stimuler la croissance économique, à atténuer les inégalités et à améliorer les conditions de vie des populations. L’IDA est un des principaux bailleurs d’aide aux 81 pays les plus déshérités de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA apportent un changement positif dans la vie de 2,5 milliards de personnes vivant avec moins de deux dollars par jour. Depuis 1960, l’IDA a soutenu des activités dans 108 pays. Le volume annuel de ses engagements est en constante augmentation et a représenté en moyenne 15 milliards de dollars au cours des trois dernières années, 50 % de ce montant environ étant destinés à l’Afrique.

Contacts médias

À Washington

Aby K. Toure
Téléphone : (202) 473-8302
akonate@worldbank.org

À Ouagadougou

Lionel F. Yaro
Téléphone : 226 50 49 6300
lyaro@worldbank.org

Burkina Faso: Burkina Faso Food Security Outlook Update March 2013

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Source: Famine Early Warning System Network
Country: Burkina Faso, Mali
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Normal food security conditions for very poor and poor households

KEY MESSAGES

• For at least 80 percent of very poor and poor households, above-normal cereal stocks and income streams (ex. gold washing, market gardening activities, and the sale of cash crops) should enable adequate food intake through the end of June. Therefore, households in all areas of the country will face Minimal/None (IPC Phase 1) food insecurity.

• In general, limited household recourse to the market to purchase food has kept cereal prices stable since January 2013 and at levels close to or slightly above (by no more than 12 percent) compared to the five-year average. These prices are helping to maintain good household food access.

• Current institutional cereal demand has not affected normal seasonal price trends. Likewise, food is flowing normally between surplus and deficit production areas, with no major abnormalities noted.

Malawi: Malawi Crops and Children Reap Benefits of Legume Mixture

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Source: Voice of America
Country: Malawi

by Kim Lewis

Scientists from Michigian State University (MSU), University of Malawi, as well as healthcare workers, and Malawi farmers have all teamed together to find a way of dramatically increasing crop yields in Malawi.

MSU said the research involved crop model simulations, long term field trials and on-farm experimentation using combinations of legumes, cereals and corn. The scientists said the experiment was a huge success, as crop yields increased with added nutrition, resulting in weight and height gains in children.

Sieglinde Snapp is a cropping systems ecologist at MSU, and one of the researchers on the project. She explained that the nutrient nitrogen is needed to improve the soil and one of the only ways to make nitrogen available is to grow legumes.

“It’s a type of crop that actually improves the soil while also improving the protein levels of the crop so that it also has human nutrition value as well as crop nutrition value. We introduced some legumes that provide both soil fertility benefits and human nutrition benefits,” explained Snapp.

The MSU researcher said collaboration efforts have been going on since 1995 which included over one-hundred villages in Ekwendi, northern Malawi. The experiment used pigeonpea mixtures with rotating corn, which makes for a very nutrient rich and soil rich crop.

“In the villages where we worked the longest, the under-five’s, the children are growing a bit better, close to international norms and are not as stunted now,” she said. “That is a real achievement that we know is due to the collaboration of nurses, working with soil scientists, and farmers all working together to make sure the kids get a healthier diet.”

Snapp noted that the project was something the whole family participated in, and that mothers as well as fathers were delighted in the weight gain among their children.

One of the most exciting aspects of the project is that the nutrient rich legumes have seeds that farmers can save and use again, only buying new ones just every couple of years.

“It is a very sustainable approach. It augments any fertilizer subsidies that they get. So if they get a voucher from the government for fertilizers, this legume they have grown themselves can make much better use of whatever other inputs that they can put together,” explained Snapp.

The MSU ecologist said the pigeon pea is a tropical legume and does survive dry spells and changing climates. She said other parts of Africa, such as Tanzania and Mali, are also interested in using legumes to improve soil fertility.

Mali: Trois nouveaux morts parmi les jihadistes qui ont infiltré Tombouctou

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Source: Agence France-Presse
Country: Mali

04/01/2013 21:27 GMT

Par Serge DANIEL

BAMAKO, 01 avr 2013 (AFP) - Trois nouveaux jihadistes qui avaient réussi à infiltrer Tombouctou (nord-ouest du Mali) ont été tués lors d'opérations de ratissage lancées dans le centre de la ville par l'armée malienne, soutenue par des soldats français.

Ce bilan obtenu par l'AFP auprès d'un officier de l'armée malienne et d'un témoin ayant vu les corps porte à au moins dix le nombre de personnes tuées depuis la nuit de samedi à Tombouctou (900 km de Bamako), dont un soldat malien et un civil nigérian.

Dans un entretien avec la télévision publique malienne ORTM lundi soir, le gouverneur de la région de Tombouctou, le colonel-major Mamadou Mangara, a fait état de huit jihadistes tués dans la ville dans la même période. Ces combattants infiltrés ont utilisé des "armes lourdes et légères. (...) Ils sont venus pour mourir", a-t-il dit.

Selon l'officier malien interrogé plus tôt, lors des opérations de ratissage lundi matin, militaires maliens et français "ont détruit avec l'aide de moyens militaires un bâtiment public" du centre-ville où s'étaient réfugiés des jihadistes.

"Nous avons pour le moment découvert trois corps de terroristes", avait-il dit, ce qu'a confirmé un caméraman ayant filmé les lieux: "J'ai vu pour le moment trois corps"à l'intérieur.

Jusqu'à cette annonce, le bilan était de sept morts: un soldat malien, un civil nigérian et cinq jihadistes, dont deux kamikazes. L'un des kamikazes avait pris en otage le civil nigérian. En outre, d'après le gouverneur Mangara, au total cinq soldats ont été blessés depuis le week-end (quatre Maliens, un Français).

De source militaire, les opérations de ratissage ont concerné notamment le camp militaire et la mosquée historique de Djingareyber, dans le centre-ville, zone ayant été dimanche théâtre d'affrontements entre soldats maliens, français et jihadistes infiltrés.

D'après des habitants, les tirs sporadiques ayant rythmé les opérations militaires durant la journée n'étaient plus entendus lundi soir.

Selon des sources militaires et sécuritaires maliennes, les violences avaient commencé dans la nuit de samedi à dimanche lorsqu'un kamikaze en voiture a tenté, sans succès, de forcer un barrage militaire à l'une des entrées de Tombouctou. Il s'est tué en actionnant sa ceinture d'explosifs, un militaire malien a été blessé.

Près de 3.000 soldats maliens à former en 15 mois

D'autres islamistes en ont alors profité pour s'infiltrer dans la ville. L'armée malienne a lancé dimanche des opérations pour les débusquer, avec l'appui d'une unité de l'armée française qui intervient au Mali depuis janvier et qui, à Tombouctou, est basée à l'aéroport.

Les affrontements s'étaient surtout concentrés dans le centre-ville: vers un hôtel servant de résidence temporaire au gouverneur de Tombouctou et le camp militaire. Par précaution, le colonel-major Mangara avait été évacué de son hôtel par l'armée française en même temps que des notables et des journalistes étrangers.

Avec ce regain de tensions sur le terrain, le déploiement annoncé dans le Nord des membres de l'unité d'élite des "bérets rouges" apparaît comme une bonne nouvelle pour les troupes maliennes qui doivent être prêtes à assurer la défense du pays sur le long terme, alors que la France a annoncé le retrait progressif, à partir de fin avril, de ses troupes déployées au Mali (4.000 hommes actuellement).

Un important contingent de "bérets rouges" - surnom des membres du 33e Régiment des commandos parachutistes (RCP) - a quitté Bamako dimanche pour le Nord, a indiqué une source militaire malienne, refusant de communiquer publiquement sur les zones où ils seront basés.

Environ 400 bérets rouges devraient être concernés par ce déploiement, d'après le porte-parole de l'armée malienne, le lieutenant-colonel Souleymane Maïga.

Pour d'autres soldats maliens, l'heure est à la formation. Après plusieurs mois de préparation, des instructeurs de l'Union européenne (UE) entament mardi une mission visant à former et entraîner près de 3.000 soldats militaires maliens sur quinze mois.

Lundi, la Guinée a indiqué être prête à augmenter son contingent de 140 soldats au Mali. Au total, près de 8.000 soldats africains sont attendus sur le sol malien pour épauler les Maliens et prendre le relais des Français, mais ils n'arrivent qu'au compte-gouttes, leur déploiement étant ralenti par des problèmes de financement et de logistique.

sd-cs/plh

© 1994-2013 Agence France-Presse

Mali: Sahel Food Insecurity and Complex Emergency - Fact Sheet #3 (FY) 2013

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Source: US Agency for International Development
Country: Burkina Faso, Chad, Gambia, Mali, Mauritania, Niger, Nigeria, Senegal, United States of America
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HIGHLIGHTS

  • More than 460,000 Malians displaced throughout Sahel Region

  • U.N. estimates more than 10 million at risk of food insecurity in 2013

  • U.S. Government commits additional $51 million to food-insecure and conflict-affected Sahelian populations


Niger: Niger’s First Lady commits to stopping new HIV infections in children

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Source: UNAIDS
Country: Niger

The First Lady of Niger, Aïssata Issoufou Mahamadou, promised to use her influence to greatly expand prevention of mother to child transmission (PMTCT) services in her country. She made her commitment during the official launch of her foundation, “Guri, for a better life,” on 28 March in Niamey, Niger. UNAIDS Executive Director Michel Sidibé was among the leaders and eminent personalities who participated in the inauguration.

Niger has made progress in its HIV response. Between 2001 and 2011, the rate of new HIV infections was reduced by almost 30%. Niger estimates that there were a little over 6000 new HIV infections in 2011. However, the country is struggling to improve its HIV services. In 2011 less than 40% of people living with HIV in need of antiretroviral drugs had access. Only 30% of pregnant women living with HIV had access to treatment to prevent transmission of HIV to their children.

In her speech during the inauguration, the First Lady said, “Guri, for a better life is the fruit of a big dream to see Niger become a haven of peace and joy for women and children.”

The First Lady’s foundation is dedicated to promoting development in Niger through health, education and poverty reduction. The country is struggling with the world’s highest fertility rate with 7.6 children born per woman in 2012. Malnutrition contributes to more than half of all deaths of children under five.

Currently in Niger, 99% of funding for HIV programming is dependent on foreign sources. Mr Sidibé urged the government to increase the share of domestic funding on the AIDS response and applauded efforts that had already been made. In Niger in 2011, the budget for HIV programming was US$ 14 million in 2010, an increase of 7.4% compared to the previous year. PMTCT represented only 2.6% of the total government budget, but rose to 16.9% in 2011.

Mr Sidibé said, “Niger has made incredible progress in reversing the AIDS epidemic and expanding coverage of HIV services for pregnant women living with HIV.”

The UNAIDS Executive Director met with President of Niger, Mahamadou Issoufou and urged him to support the production of ARVs in Africa. Like most other countries in Africa, Niger relies on imports for its ARVs. Currently African countries import 80% of ARVs, primarily from India.

Mr Sidibé said, “I am counting on your leadership to position Africa in the post 2015 agenda with a strategic vision and to promote the local production of ARVs in Africa.”

The President said, “I am convinced like you that the production of medicine locally is essential.”

The inauguration took place with the First Ladies of Swaziland, Nigeria and Chad who are all members of the Organization of African First Ladies against HIV/AIDS (OAFLA). The First Ladies are committed to using their influence to improve the lives of vulnerable families through advocacy, and mobilization of resources.

Mali: USG Humanitarian Programs in the Sahel in FY 2013 (As of 1 Apr 2013)

Benin: West African Agriculture and Climate Change: A Comprehensive Analysis

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Source: International Food Policy Research Institute
Country: Benin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Ghana, Guinea, Liberia, Niger, Nigeria, Senegal, Sierra Leone, Togo

West African policy makers should prepare for future challenges from climate change as they address the pressing needs of broad-based economic growth. Maize, millet, rice, and sorghum are the major cereal crops in the region, yet yields from these crops are very low compared to the world average and even other regions in Africa. Impacts from a changing climate will challenge production systems already under pressure to produce more to feed a growing population. Existing farming systems, including crops and livestock, are adapted to today’s agroecosystems in the region, but climate change will alter those systems in uncertain ways, affecting livelihoods, especially those of poor farmers.

The new International Food Policy Research Institute (IFPRI) book “West African Agriculture and Climate Change” uses sophisticated modeling and available data to develop future scenarios exploring the range of climate change consequences for agriculture, food security, and resource management and offers recommendations to national governments and regional agencies. It offers, for the first time, country-by-country climate data and analysis for 11 of the countries that make up West Africa: Benin, Burkina Faso, Cote d’Ivoire, Ghana, Guinea, Liberia, Niger, Nigeria, Senegal, Sierra Leone, and Togo.

“This book is greatly needed in the West Africa region. It fills a major gap in the availability of up-to-date scientific information on the vulnerability of the agriculture sector to climate change in countries and in the region,” said Robert Zougmoré, regional program leader, West Africa, CGIAR Research Program on Climate Change, Agriculture and Food Security (CCAFS). “This monograph will help regional and national decision makers and other stakeholders make better-informed decisions.”

The book is collaboration between IFPRI, CCAFS, the West and Central African Council for Agricultural Research and Development (CORAF/WECARD), a regional agricultural research and development organization, and scientists from each of the countries. It will be presented today in Niamey, Niger at the “Regional Workshop to Mainstream Climate Change in the West Africa Agricultural Productivity Programme,”organized by CORAF/WECARD.

“The book’s focus on both individual countries and the region provides a clear framework for developing informed and coherent national and regional policies to help the vulnerable farming community of West Africa become more resilient to the growing challenges of climate change,” said Abdulai Jalloh, manager, Natural Resources Management Programme, CORAF/WECARD.

In addition to country-level analysis and recommendations, the book offers region-wide policy suggestions:

  • Current data collection efforts on weather, land use, and water resources in the region are inadequate to make policy decisions. In particular, improved data on weather are crucial to help farmers make decisions now, and to inform long-term policies.
  • Policymakers should incorporate climate change considerations into food security policies—such as those related to crop research, infrastructure, and social services— to prepare for a changing climate while meeting the need for increased quantity and quality of food available to consumers.
  • Agricultural research and extension agencies should combine efforts at improving yields with those to develop climate-resilient crop varieties. Training farmers about new techniques and technologies to both adapt to and mitigate the effects of climate change is needed.
  • Governments should enable farmers to access vital inputs required for improved productivity and production.

“Climate change considerations should be part of all aspects of national and regional planning and decisionmaking,” said Gerald Nelson, IFPRI senior research fellow. “For example, new roads are essential to raise agricultural productivity. When building them today, plan for higher temperatures and more variable rainfall tomorrow. In some places, expanding irrigation makes a lot of sense for productivity and resilience. When building the infrastructure, plan for more extreme rainfall events and longer droughts than are typical today. These are just a few examples of how improved planning today can increase productivity, enhance resilience in the face of climate change, and raise the incomes of poor farmers in West Africa.”

For more information, please visit: http://www.ifpri.org/pressroom/briefing/coping-climate-change-west-africa.

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The International Food Policy Research Institute (IFPRI) seeks sustainable solutions for ending hunger and poverty. IFPRI was established in 1975 to identify and analyze alternative national and international strategies and policies for meeting the food needs of the developing world, with particular emphasis on low-income countries and on the poorer groups in those countries. It is a member of the CGIAR Consortium. www.ifpri.org.

The CGIAR Research Program on Climate Change, Agriculture and Food Security (CCAFS) is a strategic partnership of CGIAR and Future Earth, led by the International Center for Tropical Agriculture (CIAT). CCAFS brings together the world’s best researchers in agricultural science, development research, climate science and Earth System science, to identify and address the most important interactions, synergies and tradeoffs between climate change, agriculture and food security. www.ccafs.cgiar.org.

The West and Central African Council for Agricultural Research and Development (CORAF/WECARD) is a constituent of the Forum for Agricultural Research in Africa, and comprising 22 National Agricultural Research Systems in West and Central Africa. CORAF/WECARD’s mission is “Sustainable improvements to the competitiveness, productivity and markets of the agricultural system in West and Central Africa by meeting the key demands of the sub-regional research system as expressed by target groups” with strong alignment and commitment to the overall goal of the Comprehensive Africa Agriculture Development Programme of the New Partnership for Africa’s Development. www.coraf.org.

Contact Information:
Sarah Immenschuh
+1 (202) 862-5679
s.immenschuh@cgiar.org

Mauritania: Mauritanie : Enquête de suivi de la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages - décembre 2012 / janvier 2013

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Source: World Food Programme, Government of Mauritania
Country: Mauritania

Le système de suivi de la sécurité alimentaire (FSMS) permet de mesurer l'évolution de la situation socioéconomique afin d’identifier et de suivre les menaces potentielles sur la sécurité alimentaire des populations. Ce système permet aussi d’informer les décideurs sur le choix des actions à entreprendre dans la lutte contre l’insécurité alimentaire des populations en fournissant des informations saisonnières d’évolution de la situation dans le pays.

La collecte des données concerne 10 strates couvrant l’ensemble du pays. Hormis les quatre wilayas du nord (Adrar, Tiris Zemmour, Inchiri et Nouadhibou) qui ont été regroupées en une seule strate, les autres willayas et Nouakchott constituent chacune une strate. Dans chaque strate, l’échantillon est représentatif du milieu urbain et rural de la strate. Ainsi, le milieu urbain concerne aussi bien Nouakchott, les villes du nord (Nouadhibou, Atar, Zouérate) que les capitales régionales et départementales des autres régions. Les données de la présente enquête FSMS ont été collectées entre le 24 décembre 2012 au 12 janvier 2013. Au total 3 207 ménages urbains et ruraux ont été interrogés. Les principaux indicateurs suivis sont la consommation alimentaire (FCS), les stratégies de survies (CSI "réduit") et l’évolution des termes de l’échange (ToT).

World: Global emergency overview snapshot - 25 March - 02 April 2013

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Source: Assessment Capacities Project
Country: Afghanistan, Angola, Bangladesh, Bolivia, Burkina Faso, Cameroon, Central African Republic, Chad, Democratic People's Republic of Korea, Democratic Republic of the Congo, Djibouti, Eritrea, Ethiopia, Haiti, Iraq, Jordan, Kenya, Kyrgyzstan, Lesotho, Malawi, Mali, Mauritania, Mozambique, Myanmar, Niger, occupied Palestinian territory, Pakistan, Philippines, Senegal, Somalia, Sudan, Syrian Arab Republic, Tajikistan, World, Yemen, Zimbabwe, South Sudan (Republic of)
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Heavy fighting continued across Syria over the past week with increased fighting in the capital Damascus. Fierce fighting was reported from the eastern and north-eastern areas of the capital, as well as the Yarmuk Palestinian refugee camp and Qadam district. The month of March was the deadliest in Syria's two-year conflict, with more than 6,000 people killed. The number of Syrian refugees continued to rise, amounting to a total of 1,230,822 as of 2 April, according to UNHCR.

The risk of asymmetric attacks by Islamist militants remains high in the main northern towns in Mali. Islamist militants launched an attack on Timbuktu penetrating the city centre on 30 March. French forces have deployed to Timbuktu to repel the Islamist fighters.

In Central African Republic, the security situation is tense as the Seleka Rebel coalition took up arms against the Government and seized control of the capital. The security situation in Bangui is reported as unpredictable, with widespread looting and sporadic gunfire. According to the UN, an estimated 1,5 million people are estimated to be affected by the current crisis in the Seleka controlled areas, and have been without access to basic services for over two months.

A fresh wave of displacement was reported last week in north-western Pakistan following an escalation of hostilities between rival militant groups. At least 43,000 people were displaced from Khyber Agency to safer grounds in Peshawar, Kohat, and towards the camps of New Durrani in Kurram Agency and Jalozai camp in Nowshera District.

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